Les présidents du Sénégal, de la Mauritanie, de la Guinée-Bissau, du Libéria et du Gabon ont été officiellement conviés à cette rencontre de haut niveau. Selon la Maison-Blanche, cette initiative vise à renforcer les relations bilatérales et à explorer les perspectives d’investissement dans les secteurs clés tels que l’énergie, les infrastructures, l’agriculture, et les nouvelles technologies.
« L’Afrique est pleine d’opportunités extraordinaires. Nous voulons créer un partenariat gagnant-gagnant entre nos nations », a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Le sommet débutera le 9 juillet par un déjeuner de travail à la Maison-Blanche, suivi de panels thématiques et de rencontres avec des investisseurs et des représentants du secteur privé américain. Des questions sécuritaires, notamment la lutte contre le terrorisme et le renforcement des capacités des États du Sahel, seront également à l’ordre du jour.
Cette rencontre marque une volonté claire de l’administration Trump de réaffirmer son engagement vis-à-vis du continent africain, dans un contexte de forte concurrence géopolitique impliquant la Chine, la Russie, et d’autres acteurs.
Ce mini-sommet est perçu comme un prélude à un éventuel Forum États-Unis–Afrique élargi, que Donald Trump envisagerait d’organiser en 2026 s’il venait à être réélu officiellement en novembre prochain.